Faire progresser la connaissance et alimenter l’innovation dans le domaine de l’information géographique : telles sont les missions de l’ENSG-Géomatique en matière de recherche. Ces missions sont notamment au service du rayonnement et de l’excellence technologique de l’IGN.
Domaines de recherches
La recherche de l’ENSG-Géomatique est organisée autour de grands domaines que sont :
La recherche de l’ENSG fournit son expertise :
- aux services de l’IGN, que ce soit pour évaluer la faisabilité d’opérations ou élaborer des projets structurants et innovants tels que le LIDAR HD. Elle réalise des transferts de compétences et technologies vers le service de l’innovation de l’Institut. Le schéma directeur de la recherche et des technologies de l’IGN pointe les principaux enjeux auxquels l’IGN devra savoir répondre dans les prochaines années et dans lesquels la recherche jouera un rôle déterminant.
- à d’autres acteurs socio-économiques, sous forme principalement de partenariats de recherche. Les résultats de recherche de l’école sont généralement rendus accessibles par ouverture du code informatique correspondant : les licences sont de ce fait une exception.
- aux formations de l’école pour en garantir la qualité scientifique. Les chercheurs participent activement à l’enseignement de pointe dispensé à l’ENSG-Géomatique.
L’intrication de l’ENSG dans l’Université Gustave Eiffel est l’opportunité de renforcer les liens de recherche avec les autres composantes de l’Université et en particulier sur le périmètre de la ville durable et résiliente. Le LASTIG, auquel la majorité des chercheurs de l’école sont rattachés, est ainsi une unité mixte de recherche entre l’ENSG-Géomatique et l’Université Gustave Eiffel.
Plus largement, les équipes de recherche de l’ENSG-Géomatique collaborent avec celles d’institutions publiques de recherche telles que le CNES, l’ONERA, INRAe et l’Ecole des Ponts.
Outre les publications largement reconnues (environ 70 articles par an), la recherche de l’IGN est active dans les instances liées à la recherche.
La recherche est menée par environ 100 personnes, dont environ 55 chercheurs et ingénieurs permanents, réparties dans 6 centres de compétences pluridisciplinaires.