Doctorat
Le doctorat à l'ENSG-Géomatique offre une expérience enrichissante de formation par la recherche au sein d’un laboratoire de pointe. Les principaux thèmes de recherche comprennent :
Le doctorat à l'ENSG-Géomatique offre une expérience enrichissante de formation par la recherche au sein d’un laboratoire de pointe. Les principaux thèmes de recherche comprennent :
Recherche
Une reconnaissance accordée à celles et ceux qui font avancer la science, pour les encourager à poursuivre des recherches déjà bien engagées.
Publié le 19 février 2024
Temps de lecture : 3 minutes
Kristel Chanard, chargée de recherche du développement durable à l'IGN / ENSG-Géomatique, obtient la médaille de bronze du CNRS.
Au sein de l'Unité Mixte de Recherche (UMR) IPGP, Kristel Chanard mène des recherches à l'interface entre 2 disciplines : la géodésie et la géophysique. Elle étudie l’impact du cycle de l’eau sur les observations de géodésie et gravimétrie. Son objectif est d'aider à mieux comprendre comment la Terre solide se déforme en réponse aux variations des masses d’eau à sa surface, et comment ces déformations affectent les séismes.
Des recherches importantes avec des enjeux scientifiques ainsi que sociétaux qui bénéficient à de nombreuses thématiques : compréhension des signaux mesurés par les techniques de géodésie et gravimétrie, évolution et gestion des ressources en eau, rhéologie de la Terre et sismicité.
Kristel Chanard montre un très grand dynamisme scientifique, souligné par de nombreuses collaborations nationales et internationales, et récompensé par le Early Career Scientist Award de l’European Geosciences Union en 2022 et le John Wahr Early Career Award de l'American Geophysical Union en 2023.
Mis à jour 08/04/2024
École
Diplômé de l'ENSG-Géomatique puis inspecteur général de l'INSEE, Patrick Sillard devient directeur de l'école.
Publié le 26 janvier 2024
Temps de lecture : 4 minutes
Inspecteur général de l’Insee, Patrick Sillard est ingénieur diplômé de l’ENSG-Géomatique (1994) et statisticien-économiste diplômé de l’Ensae-Paris (2004). Il est docteur de l’Observatoire de Paris en astronomie fondamentale,
mécanique céleste et géodésie (1999).
Par arrêté du 23 janvier 2024, Patrick Sillard prendra ses fonctions de directeur de l’école au 1er mars 2024.
Mis à jour 08/04/2024
École
Le 16 janvier dernier, à l’ENSG-Géomatique se tenait la journée Carte Blanche sur le thème : IA, éthique & responsabilités.
Publié le 25 janvier 2024
Temps de lecture : 5 minutes
Au programme :
Une présentation des ENSGagé·e·s, l’association œuvrant pour l’écologie et la solidarité au sein de l’école, durant laquelle, Ils ont exposé et pris la parole au nom des élèves sur les dangers et les opportunités liés à l’IA :
Pour finir la journée, les élèves devaient proposer des idées innovantes d’utilisation de l’IA afin d’améliorer le quotidien. Parmi les applications proposées, il y avait notamment :
Mis à jour 26/01/2024
Recherche
Publié le 15 janvier 2024
Temps de lecture : 2 minutes
École
Diplômée puis professeur à l'ENSG-Géomatique, et après plusieurs années à l'IGN, Raphaële Héno, intègre ses nouvelles fonctions. Découvrez son parcours.
Publié le 08 janvier 2024
Temps de lecture : 2 minutes
Diplômée de l’ENSG-Géomatique et ingénieure des ponts, des eaux et des forêts, Raphaële Héno a effectué presque tout son parcours à l’IGN, dans des postes variés à des niveaux de responsabilité croissants. Experte en photogrammétrie, elle commence sa carrière sur un poste de chargée d’études autour de l’optimisation des méthodes de production de l’information géographique à partir d’images aériennes. Après une disponibilité d’une année au Yémen pour la mise en place d’un processus de production numérique d’orthophotoplans, elle rejoint l’ENSG-Géomatique pour prendre une activité d’enseignement et devient en 2006 cheffe d’un département d’enseignement, menant de front des activités scientifiques au sein de sociétés savantes, en France et au niveau international, et des activités pédagogiques en formation initiale et continue.
En 2015, elle devient chargée de mission pour les partenariats européens et internationaux à la direction de la stratégie, de l’innovation et de la valorisation à l’IGN. Elle contribue notamment au montage de plusieurs projets européens et multipartenaires (Niva, Urclim, Time Machine). Depuis 2019, Raphaële Héno occupe le poste de pilote du programme de transformation par l’innovation à l’IGN. Elle a notamment dans ce cadre contribué à la préfiguration de la Fabrique des géocommuns, au lancement du Lab IGN et à la préparation des feuilles de route technologiques IA et géovisualisation. En 2023, elle s’est particulièrement investie dans la coordination du montage du projet de jumeau numérique de la France.
Raphaële Héno a pris ses fonctions à l’ENSG-Géomatique le 8 janvier 2024 en tant que directrice adjointe en charge des enseignements en remplacement d’Alain Dupéret qui partira en retraite en Février 2024.
Mis à jour 09/01/2024
École
Étudiante en Master 2 à l'ENSG-Géomatique et participante du championnat du monde étudiant de pair go à Tokyo !
Publié le 20 décembre 2023
Temps de lecture : 7 minutes
Je m’appelle Liina Laatikainen, je suis étudiante Finlandaise, je viens d’une licence géographie et aménagement à Lyon et je suis en Master 2 IGAST. Je joue au jeu de go depuis que je suis toute petite, c’est ce qui m’a conduit à être invitée aux championnats étudiants du pair go au Japon en décembre.
J’aime bien la réflexion stratégique dans le go, j’apprécie beaucoup quand je vois des joueurs forts jouer, ça m’impressionne de voir à quel point ils sont capables de prévoir des séquences immenses et d’anticiper les prochaines phases de la partie. Mais aussi, j’aime beaucoup jouer en club car c’est très convivial, je n’aime pas trop jouer en ligne car c’est un jeu tellement social qu’on perd cette interaction à jouer en ligne.
Mis à jour 21/12/2023
Recherche
Ingénieure-Chercheuse à l'ENSG-Géomatique, Maylis est partie aux États-Unis poursuivre sa thèse.
Publié le 29 novembre 2023
Temps de lecture : 5 minutes
Maylis La Serve, ingénieure-chercheuse en géodésie part aux États-Unis, à Michigan State University, une véritable opportunité à saisir afin de poursuivre sa thèse à une échelle plus importante.
Elle qui se décrit comme un “pur produit de l’ENSG” souhaite à travers ce voyage, pouvoir s’émanciper et apporter de la diversité à son parcours tout en poursuivant le travail initié lors de sa thèse. Son travail a pour but de favoriser une meilleure compréhension et modélisation des déformations de la Terre pour faire évoluer l’ITRF (Repère International de Référence Terrestre).
Elle nous explique : “ C'est fréquent qu’un docteur parte faire un post-doctorat à l’étranger. Cela permet de consolider sa thèse, d’étendre son réseau et de renforcer son dossier si on souhaite obtenir un poste permanent comme chercheur ou maître de conférence. J’aurai pu choisir de partir dans un laboratoire français mais l’anglais étant ma principale langue de travail, les USA étaient la suite logique ! ”
L’objectif de la thèse de Maylis était d’investiguer l’une de ces questions : Est-il possible de détecter des mouvements non-linéaires non saisonniers sur les sites de l’ITRF ?
Mais dis-moi, Jamy qu’est-ce que c’est les mouvements non-linéaires non saisonniers ?
Pour comprendre cela, il faut d’abord commencer par la présentation de l’ITRF.
Il est nécessaire de pouvoir se positionner précisément à la surface ou proche de la surface de la Terre, que ça soit pour se déplacer ou pour des applications scientifiques qui permettent en autre la prévention de risques naturels.
Mais comment se positionner sur une Terre qui subit constamment des déformations (tectonique des plaques, volcans, séisme…) ? Pour cela on utilise un outil qui s’appelle… l’ITRF !
L’ITRF correspond à la position d’une multitude de stations/points de référence qui se trouvent tout autour de la planète ainsi qu’à leur évolution dans le temps.
Ce repère est peu connu par le grand public mais il a un réel impact dans notre quotidien. Pour s’assurer d’une bonne fiabilité, il est mis à jour régulièrement. La dernière réalisation de l'ITRF est l’ITRF2020.
Mais l’ITRF2020 connaît quelques limites. Sa modélisation, comme tout modèle simplifié, ne représente pas parfaitement la forme de la Terre. En effet, elle ne prend pas en compte certains mouvements ou déformations : Les fameux mouvements non-linéaires non saisonniers !
Par exemple, il ne prend pas en compte dans leur entièreté la fonte des glaces actuelle ou le phénomène El Nino (phénomène climatique qui impacte la côte Pacifique de l’Amérique du Sud). Le travail de Maylis a donc pour objectif d’investiguer une manière d’incorporer ces mouvements non linéaires non saisonniers à l’ITRF.
Cela permettrait d’obtenir des coordonnées plus fiables et notamment de mieux étudier certains phénomènes climatiques comme la montée des mers ou la fonte des glaces.
Le partenariat avec le Dr. Jeffrey T. Freymuller, professeur à Michigan State University va permettre d’aborder ces mouvements non linéaires et non saisonniers d’un point de vue géophysique. “Son expertise en géophysique ainsi qu’en géodésie est un atout indéniable afin d’avancer vers la modélisation de ces déplacements et vers leur potentielle intégration dans l’ITRF.”
Maylis pourra donc consolider les acquis de sa thèse en assimilant de nouvelles connaissances, méthodes et techniques.
“Cela sera en effet pour moi l’occasion d’apprendre de nouvelles méthodes d’analyse de données issues de la géodésie spatiale appliquées aux sciences de la Terre ainsi que l’utilisation de modèles géophysiques.”
Cette expérience lui permettra de développer son propre projet de recherche afin d’obtenir une meilleure modélisation des déformations de la Terre ce qui fera évoluer l’ITRF ainsi que sa carrière.
Mis à jour 07/12/2023
École
Étudiant ingénieur à l’ENSG-Géomatique et vainqueur avec son équipe des 24h de l'innovation au centre de la Terre du Pôle Avenia !
Publié le 23 novembre 2023
Temps de lecture : 5 minutes
Je m’appelle Benoit Cachard, je suis étudiant en 3ème année du diplôme d'ingénieur à l’ENSG-Géomatique en option PPMD. Je suis ici en double diplôme, j'ai commencé ma formation au sein de l'Ecole Nationale Supérieure de Géologie de Nancy.
C’est un événement qui a pour but d’éveiller les gens autour de la Géoscience et de tous les secteurs que ça comprend.
C’est un évènement organisé par le Pôle Avenia, qui collabore avec 15 entreprises rencontrant des problématiques différentes. Pour chacune des problématiques, un groupe de 7 étudiants, venant d’écoles différentes et avec des compétences variées va travailler pendant 24 heures pour tenter de répondre à cette problématique avec une solution innovante.
Un créneau de 2 minutes montre en main est alloué à chaque équipe à la fin de l'événement pour présenter ce travail à un jury et les convaincre que la solution apportée répond à la problématique.
On a travaillé 20h / 24 !
Je retiens vraiment cet esprit de groupe, de partage et d'innovation ! On s’est donné les moyens d’y arriver en travaillant et en s'impliquant à 100%.
C’est aussi des rencontres, des moments d’échange avec des gens passionnés des Géosciences.
C’était également très formateur dans plein de domaines différents, que ça soit sur un aspect technique ou communicationnel comme prendre la parole pendant 2 minutes devant une centaine de personnes.
Mis à jour 20/12/2023