Forum entreprises 2023

30 Entreprises
200 Étudiants à la recherche d'un stage ou d'un emploi
50 Offres de stage ou d'emploi
30 Entreprises
200 Étudiants à la recherche d'un stage ou d'un emploi
50 Offres de stage ou d'emploi
Événements
Publié le 25 juin 2025
Temps de lecture : 3 minutes
Lisa : Je m'appelle Lisa, étudiante en dernière année à l'ENSG-Géomatique, en spécialisation "Développement durable, management environnemental et géomatique". Avant d'intégrer l'ENSG-Géomatique, j'ai suivi une classe préparatoire BCPST. Ce parcours m'a permis de développer une solide culture scientifique et une rigueur analytique, que j'ai pu réinvestir dans ma formation d'ingénieure. J'ai choisi l'ENSG-Géomatique pour son approche multidisciplinaire allant de la géomatique, de l'environnement et des sciences sociales.
Hugo : Je m'appelle Hugo, étudiant en 3ème année à l'ENSG-Géomatique, en spécialisation "Technologies des systèmes d'information". Avant l'ENSG-Géomatique, j'étais en licence en Sciences de la Terre. Mon objectif était d'acquérir plus de compétences en informatique pour éventuellement retourner ensuite dans le domaine de la géologie.
Lisa : J’ai souhaité participer à VivaTech car je m’intéresse de plus en plus aux liens entre l'innovation technologique et la transition environnementale. En tant que future ingénieure géomaticienne, je voulais comprendre comment les grandes entreprises et les start-ups intègrent les enjeux de durabilité dans leurs projets tech. J’ai été impressionnée par l’ampleur de l’événement, la diversité des innovations présentées et l’énergie qui s’en dégage. C’est un lieu stimulant, où la créativité rencontre les enjeux sociétaux.
Avant ma visite, je cherchais plusieurs thèmes principaux :
Hugo : J'étais curieux de voir les nouvelles avancées technologiques et leurs applications dans les entreprises. C'était aussi l'occasion, pour moi, de tâter un peu le marché de l'emploi. Evidemment, l'IA était à l'honneur. On voit des applications pour tout. En amont de visite, je n'avais pas particulièrement sélectionné de stands à voir, car j'étais plutôt dans une optique de découverte.
Lisa : Sur le salon, j'ai rencontré de nombreux acteurs comme Prisme.ai et Bouygues Télécom qui travaillent autour d'un projet d'IA agentique contextualisé, intégrée dans des environnements professionnels. J'ai échangé avec des start-ups comme Open Climate Fixe ou Sweetch Energy qui allient données, IA et enjeux climatiques ainsi que SushiTech qui est également une start up proposant une approche ludique et éducative de la tech, notamment à travers des dispositifs immersifs pour vulgariser des sujets complexes. Enfin, j'ai discuté avec SNCF, EDF et Orange autour de leurs stratégies RSE et Green IT, sujets qui m'intéressent fortement, dans le cadre de mes missions de stage chez M6.
Hugo : Lors de ma visite, j'ai rencontré différents ministères et grandes entreprises qui avaient quelques gros projets intéressants à déployer au niveau national. Au niveau des start-ups, j'ai retenu quelques sujets : emballage alimentaire comestible pour la restauration à emporter, un outil de traduction orale instantanée (via IA), un outil de détection et localisation de départ de feu de forêt via l'analyse de l'air.
Lisa : Lors de ma visite, j'ai été captivée par les différentes solutions technologiques au service des questions environnementales, notamment le sujet des jumeaux numériques environnementaux, avec des cas d'usage très avancés pour le bâtiment, la mobilité et la planification urbaine. Autre sujet saillant, les solutions de mesure d'impact environnemental du numérique, notamment des dashboards intégrant des données spatiales. Et enfin, le salon regorgeait de robots intelligents dont certains étaient impressionnants de précision et d'autres carrément surprenants par leur design ou leur interaction avec le public.
Lisa : Je me suis rendue compte, à VivaTech, que la géomatique était partie intégrante des questions d'innovations technologiques. Le croisement entre l'intelligence artificielle, les données spatiales et les enjeux climatiques devient central. Les plateformes de géomatique ne sont plus réservées aux experts SIG mais s'intègrent au sein d'interfaces métiers accessibles. Et enfin, l'automatisation de la cartographie d'indicateurs environnementaux ouvre des perspectives en reporting extra-financier et en urbanisme durable.
Lisa : Ce que je retiens de ma visite, c'est qu'il y a urgence de réguler l'IA générative, tout en conservant une dynamique d'innovation. Un second besoin sera celui de la transparence énergétique des outils numériques. Et côté recrutement, il en ressort une importance croissante des profils hybrides (data, environnement, gouvernance) dans les entreprises.
Participer à VivaTech est une superbe expérience. Nous avons eu l'occasion de plonger vraiment dans ce qui se fait de plus innovant, permettant ainsi de voir, de façon concrète, comment nos compétences en géomatique peuvent être utiles dans de nombreux domaines, parfois très éloignés de ce qu'on imagine. Cet événement est l'occasion de découvrir des tendances de fond comme l'IA, le cloud ou la sobriété numérique, mais provoquer aussi l'échange avec des professionnels, se projeter et parfois trouver des pistes pour son stage ou son futur job. VivaTech est un bon moyen de sortir un peu du cadre de l'école et de mieux comprendre où peut nous mener notre formation d'ingénieur.
Mis à jour 02/07/2025
Inscrivez-vous à un ou plusieurs de nos lives pour mieux appréhender les concours, découvrir le programme de notre diplôme d'ingénieur, ses débouchés, sans oublier la vie étudiante et la vie sur notre campus.
École
Après leur victoire au European Hackathon de l’Université Gustave Eiffel, Elisa, élève ingénieure de l'école, et son équipe, ont eu l’opportunité de présenter leur projet au Parlement européen. Dans cette interview, Elisa revient sur cette expérience unique : du travail collaboratif pendant le Hackathon à la présentation de leur projet devant des acteurs engagés de l'Union européenne.
Publié le 27 mai 2025
Temps de lecture : Array minutes
Je m’appelle Elisa Peyrard, je suis élève ingénieure en 3e année à l’ENSG géomatique, dans la spécialité Carthagéo.
Le thème de cette édition était “Towards sustainable logistics and goods transportation”.
Notre projet, appelé Ecoloop, visait à réduire l’impact environnemental des retours e-commerce, qui représentent une source majeure de pollution. Par exemple, en 2024, cela a représenté 5,8 millions de tonnes de retours en décharge, soit l’équivalent de 4 681 Boeing 747 chargés à pleine capacité.
Nous avons imaginé un système de notation standardisé, visible directement au moment de l’achat en ligne, qui évalue la durabilité d’un produit et la logistique liée à un éventuel retour. Le score va de A (excellente durabilité et transparence) à E (pratiques peu durables et coûteuses en cas de retour).
Ce système permet de sensibiliser les consommateurs et d’encourager les pratiques plus responsables, tout en aidant les vendeurs à valoriser leurs efforts en matière de durabilité.
C’était une expérience à la fois unique et extrêmement enrichissante. Nous avons eu l’opportunité de présenter notre projet devant des acteurs engagés de l’Union européenne, d’échanger avec eux sur des sujets d’avenir, et d’assister à des tables rondes passionnantes, notamment autour de la thématique du vélo dans le cadre de l’initiative "Mai à vélo".
La visite du Parlement européen a également été un moment fort, d’autant plus marquant que notre venue coïncidait avec les cérémonies de commémoration du 8 mai. Nous avons ainsi eu la chance d’assister à des témoignages de vétérans, ce qui était très émouvant.
Mis à jour 27/05/2025
École
Publié le 21 mai 2025
Temps de lecture : 29 minutes
Mis à jour 06/06/2025
École
Deux écoles d’ingénieurs de l’Université Gustave Eiffel unissent leurs forces pour former les talents de la ville intelligente de demain.
Publié le 13 mai 2025
Temps de lecture : 3 minutes
À partir de la rentrée 2025, l’ENSG-Géomatique et ESIEE Paris, deux écoles d’ingénieurs membres de l’Université Gustave Eiffel, proposent un double-diplôme inédit en France. Alliant excellence en informatique et expertise en géomatique, ce parcours sur quatre ans répond à la demande croissante du marché pour des profils hybrides capables d’accompagner la transformation numérique des territoires et des entreprises.
Mis à jour 14/05/2025
École
Publié le 29 avril 2025
Temps de lecture : 15 minutes
Recherche
Publié le 22 avril 2025
Temps de lecture : 3 minutes
C'est quand un glacier s'effondre ou recul fortement, ce qui modifie le paysage et les équilibres locaux. À cause de cela, d’autres glaciers voisins captent une partie de la glace qui, auparavant, allait vers le glacier affaibli. C’est un peu comme si un fleuve changeait brusquement de lit et détournait l’eau d’un autre cours d’eau voisin.
Le cas étudié par Flora concerne le glacier Midgaard, situé dans le sud-est du Groenland, dont l’effondrement historique a profondément perturbé les glaciers environnants. Résultat : une réorganisation durable des flux de glace qui a contribué à amplifier la fonte glaciaire régionale.
Le sud-est du Groenland est aujourd’hui le deuxième plus grand contributeur à l’élévation du niveau de la mer. Comprendre comment ces dynamiques ont évolué au fil du temps est essentiel pour savoir si les changements observés sont dus uniquement au réchauffement climatique actuel, ou s’ils s’inscrivent dans une tendance plus ancienne de réorganisation glaciaire.
Grâce à l’analyse combinée de données satellites, d’archives anciennes et de modélisations, cette recherche apporte un éclairage précieux sur les mécanismes complexes qui gouvernent l’évolution des calottes glaciaires.
Mis à jour 29/04/2025